La pathologie qui diminue la masse et la force musculaire, c’est la sarcopénie. Elle affecte les personnes en phase de vieillissement, mais heureusement, elle peut être traitée même à domicile.

Sarcopénie et bien-être, quelles solutions ?

La sarcopénie est une maladie caractérisée par la perte progressive et généralisée de la masse et la fonction musculaire. Elle atteint un grand pourcentage de la population vieillissante à partir de 50 ans, où la dégénérescence du tissu musculaire s’accroît. Il s’agit d’une aggravation de la fonte musculaire ayant des conséquences graves sur la santé du malade. Découvrez ici tout ce qu’il faut savoir pour limiter les dommages de cette maladie et l’éradiquer.

La sarcopénie affecte l’autonomie des personnes âgées

Les personnes souffrantes de la dystrophie liée à l’âge sont souvent âgées de 50 ans ou plus. À partir de cet âge, toute perte excessive de la masse musculaire peut être associée à la sarcopénie. L’affectation est généralement causée par des facteurs interdépendants, qui jouent un rôle important dans l’apparition et la progression de la maladie.

Au nombre de ceux-ci, on note le changement dans la transmission neuromusculaire, entraînant une perte de myofibres et la diminution de la fonction contractile. La perturbation des effets des hormones anaboliques telles que la progestérone, l’œstrogène ou les hormones de croissance, est également une cause de cette maladie. Elle peut aussi apparaître lorsque l’organisme d’une personne vieillissante ne bénéficie plus d’apports nutritionnels conséquents.

Lorsque l’organisme n’utilise plus efficacement les protéines à cause d’une modification du métabolisme protéique, les risques de la survenue de sarcopénie sont élevés. Tous ces facteurs entraînent une réduction de la force et du tonus de l’individu qui l’empêche d’être physiquement autonome. Le malade dont l’endurance devient faible est alors exposé à des risques de chutes et d’hospitalisations fréquentes. Pour optimiser le bien-être et la qualité de vie de ces personnes, certains exercices efficaces ont été conçus.

Le rôle des exercices thérapeutiques dans le traitement

Les mouvements thérapeutiques prévus dans le cadre du traitement de cette maladie améliorent considérablement la masse du muscle, ses fonctionnalités et la mobilité du patient. Celui-ci retrouve son équilibre, sa proprioception et le risque de mortalité dû à la sarcopénie est diminué. Ces exercices sont essentiellement des mouvements d’aérobie tels que le vélo ou la natation, qui vont améliorer la santé cardio-respiratoire et cardio-métabolique.

Le malade devra également apprendre à son corps à résister de manière progressive. Pour cela, il sera amené à prendre des poids ou à faire de la gymnastique afin d’augmenter sa densité minérale osseuse et sa puissance. Ces exercices vont lui permettre de raffermir ces muscles et de garder son équilibre, au même titre que les exercices de flexibilité. Ceux-ci favorisent la souplesse et la stabilité pendant les activités au quotidien. Il est important que le programme d’exercice soit suivi par une personne compétente. En la matière, un kinésithérapeute est mieux indiqué pour s’occuper du patient.

Pourquoi se faire aider à domicile ?

La sarcopénie n’est pas une maladie à banaliser. Pour ne pas être obligé de vivre dans la sédentarisation, il faut mettre en œuvre sans délai un processus de guérison. Cependant, une personne subissant une perte d’autonomie ne saurait réaliser toute seule les exercices indispensables. De plus, dans un hôpital, vous êtes susceptible de dépenser une petite fortune pour une prise en charge complète. Avec un kinésithérapeute à domicile, vous bénéficiez d’un traitement personnalisé.

Opter pour les services d’un professionnel du genre permet de bénéficier de soins de qualité et vous exonère des grosses dépenses effectuées dans les hôpitaux. Le kiné favorise l’accès aux soins tout en veillant à la sécurité du malade et à l’efficacité des exercices pour guérir la sarcopénie. Nous vous proposons nos services de kinésithérapeute, adaptés aux besoins de chaque patient. 

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